Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres (droite), a dit être marqué par l’hospitalité du peuple burkinabè.(droite), a dit être marqué par l’hospitalité du peuple burkinabè.

Le Chef de l’Etat burkinabè, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, s’est entretenu, au cours d’audiences, avec le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres et le ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, Sergei Lavrov, le samedi 24 septembre 2022, à New-York.

Les Nations unies maintiennent leur soutien au Burkina Faso pendant cette période de transition. C’est en substance, ce qui est ressorti de l’audience que le secrétaire général de l’institution, Antonio Guterres, a accordée au Président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, le samedi 24 septembre 2022, à New-York.

Selon la ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur, Olivia Rouamba, il s’est agi, lors de l’entrevu, de faire le point à mi-parcours de la Transition, passer en revue le déroulé des actions prioritaires du moment et solliciter l’accompagnement des Nations unies qui est la structure phare au niveau mondial.

Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres (droite), a dit être marqué par l’hospitalité du peuple burkinabè. crédit photos/Présidence du Faso

De ce qu’elle a affirmé, le secrétaire général des Nations unies perçoit le bien-fondé des priorités de la Transition et s’engage à l’accompagner.  « Il a un fort attachement avec le Burkina Faso où il est passé par deux fois et de ce fait, il estime que le pays ne mérite pas ce qui lui arrive aujourd’hui », a-t-elle relevé.

Selon ses dires, le secrétaire général, Antonio Guterres, a rappelé que les Burkinabè avaient chaleureusement accueilli les réfugiés maliens et en tant que représentant du Haut-commissariat des Nations unie pour les réfugiés à l’époque, il en avait été très ému.

Avant l’entretien avec M. Guterres, le chef de l’Etat avait échangé avec le ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, Sergei Lavrov. « Il s’est agi d’échanges ordinaires. C’est un pays avec lequel le Burkina Faso a une coopération vielle de 50 ans et aujourd’hui il y a le souhait de la renforcer davantage afin de la porter à un niveau qui sera mutuellement bénéfique aux deux pays », a fait savoir la ministre Olivia Rouamba.

 

Daniel ZONGO

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