Ouagadougou, 30 juillet 2025.  Dans un documentaire vidéo de plus de 44 minutes, le célèbre YouTubeur britannique Go With Ali dévoile un visage méconnu du Burkina Faso, bien éloigné des stéréotypes négatifs souvent relayés par certains médias occidentaux.
Tournée après un séjour de 72 heures à Ouagadougou, la production montre un pays accueillant et fréquentable, en contradiction avec les discours des impérialistes et de leurs relais.
Diffusé sur sa chaîne YouTube suivie par 1,4 million d’abonnés, le reportage présente un Burkina Faso debout, résilient et engagé dans la reconquête de sa souveraineté, sous le leadership du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré.
Malgré la barrière linguistique, Ali interagit chaleureusement avec les habitants : chauffeurs de taxi, commerçants, hommes d’affaires… Son immersion dans la capitale l’amène à découvrir des mets locaux tels que la bouillie et les galettes vendues sur les marches du marché Rood-Wooko. Il échange également avec un bijoutier de Kalgodin, père de famille nombreuse, symbole de résilience.
Le vidéaste visite des lieux emblématiques de la ville et démonte, un à un, les préjugés sur le Burkina Faso. « Le Burkina Faso est bien plus fréquentable que ce qu’en disent les médias, en dépit de certaines difficultés », affirme-t-il, saluant une population digne, résiliente et chaleureuse.
Ali note également que les Burkinabè gardent une image positive de leur président, le Capitaine Ibrahim Traoré, perçu par beaucoup comme l’héritier de la pensée révolutionnaire de Thomas Sankara.
Son reportage met en avant l’atmosphère paisible qui règne dans la capitale. Il visite le mémorial dédié à Thomas Sankara, figure emblématique du panafricanisme, avant de se rendre dans le quartier moderne de Ouaga 2000, siège de plusieurs institutions administratives.
À travers ce documentaire, Go With Ali, dont le travail consiste à documenter les réalités de pays souvent perçus comme à risque, entend donner la parole aux populations locales et proposer un contre-récit face aux narrations dominantes et souvent biaisées.
Son passage au Burkina Faso s’inscrit dans une série de voyages réalisés dans d’autres zones sensibles du globe, comme l’Afghanistan, la Somalie, le Nigeria, les favelas du Brésil ou encore Haïti.
Agence d’Information du Burkina

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