Le vice-président régional pour l’Afrique, Sérgio Pimenta

M. Sérgio Pimenta, vice-président régional d’IFC pour l’Afrique, se rendra en Mauritanie, au Niger et au Burkina$Faso, du 8 au 18$septembre, afin de promouvoir le rôle du secteur privé face aux besoins de développement urgents des pays du Sahel.

À l’heure où la pandémie de COVID-19 est venue ajouter son lot de difficultés à une situation déjà préoccupante, les pays du Sahel se trouvent à un tournant critique. Le secteur privé a un rôle essentiel à jouer pour créer des emplois, favoriser la croissance économique et soutenir les efforts en matière de développement.

Dans les trois pays qu’il visitera, M.$Pimenta s’entretiendra avec des décideurs publics, des partenaires au développement ainsi que des acteurs du secteur privé. Il présentera les activités et la stratégie d’IFC qui visent à accompagner le développement socio-économique des pays du Sahel à travers des projets portés par le secteur privé et porteurs de transformation économique. Au Niger, conjointement avec les autorités, M. Pimenta procédera à l’inauguration officielle du bureau permanent d’IFC dans le pays.

L’objectif d’IFC, pour les quatre prochaines années, est d’engager jusqu’à 1,2$milliard de dollars d’investissements en faveur des pays du Sahel (en tenant compte des ressources mobilisées auprès d’autres investisseurs) dans des secteurs clés pour la croissance et le progrès social$à savoir: les infrastructures, l’énergieverte, l’agro-industrie et le développement des chaînes de valeur, et l’inclusion financière.

Source : Banque mondiale

À propos d’IFC

La Société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, est la principale institution de développement axée sur le secteur privé dans les pays émergents. Elle mène des opérations dans plus d’une centaine de pays, consacrant son capital, ses compétences et son influence à la création de marchés et d’opportunités dans les pays en développement. Au cours de l’exercice budgétaire 21, IFC a engagé un montant record de 31,5 milliards de dollars en faveur de sociétés privées et d’institutions financières dans des pays en développement, mobilisant ainsi les capacités du secteur privé pour mettre fin à l’extrême pauvreté et promouvoir une prospérité partagée alors que les économies font face aux répercussions de la pandémie de COVID-19.

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