Secrétaire générale de la Primature Mme Yvonne Rouamba (milieu)

L’atelier d’examen du rapport d’évaluation de l’impact du projet de développement de l’Agriculture du Compact I dont le Burkina a bénéficié de 2009 à 2014 se tient ce 14 décembre 2020 dans la salle de Conférence de la Primature, à Ouagadougou. C’est la Secrétaire générale de l’institution, Yvonne Rouamba, qui a ouvert les travaux.

Une vue des participants à l’atelier

Ils sont une vingtaine de participants, acteurs ou bénéficiaires de la mise en œuvre du premier compact du Burkina Faso, exécuté de 2009 à 2014, à prendre part à cet atelier. Le temps d’une journée, ils vont examiner et amender le rapport d’évaluation de ce compact qui était axé principalement sur le développement de la chaine de valeur de l’agriculture.

«L’approche de suivi évaluation du Millenium Challenge Corporation (MCC) se fonde sur le principe de redevabilité, d’apprentissage et de transparence», a indiqué le Directeur pays du MCC-Burkina, Michael J. Simsik. Pour lui, la redevabilité est l’obligation de rendre compte et d’accepter la responsabilité pour les activités menées. Il s’agit aussi d’apprécier ce qui a marché et ce qui ne l’a pas été, pour tirer des leçons, donc apprendre de ce qui a été fait. La transparence, elle, va consister à rendre publics les résultats de cette évaluation.

La Secrétaire Générale de la Primature Yvonne Rouamba, a exprimé toute sa confiance quant à l’atteinte des objectifs de cette rencontre, au regard de la forte mobilisation des structures présentent et de la qualité des participants. Elle a salué les efforts que les participants, individuellement ou collectivement, ont déployés pour le suivi évaluation et la capitalisation des acquis du premier compact, et qui contribueront à la réussite du second compact que notre pays vient de conclure avec le MCC.

Le premier compact, il faut le rappeler, avait pour objectifs d’améliorer la productivité agricole, d’augmenter les revenus des agriculteurs et des éleveurs et de soutenir le développement économique, par un ensemble intégré d’activités comprenant des investissements dans la gestion de l’eau, de l’irrigation, et dans les chaines de valeurs de l’élevage et de l’agriculture.

La zone d’intervention du projet était la Vallée du Sourou et le Bassin de la Comoé.

Mme Rouamba, qui avait à ses côtés le Directeur de Cabinet du Premier ministre, a traduit sa reconnaissance au gouvernement américain et au MCC, qui ne cessent d’appuyer et d’accompagner le Burkina Faso dans ses efforts de développement économique et social inclusif.

DCRP

 

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