Le président du Faso Roch, Marc Christian Kaboré en entretien avec son altesse royale la princesse Sarah Zeid de Jordanie

Le président du Faso Roch, Marc Christian Kaboré a reçu ce mercredi en fin de matinée son altesse royale la princesse Sarah Zeid de Jordanie par ailleurs conseillère spéciale du programme alimentaire mondial pour la santé de la mère et l’enfant, et la nutrition. Roch Marc Christian Kaboré et la princesse ont échangé sur les progrès réalisés par le pays dans le domaine de la nutrition.

Le Burkina Faso a en effet enregistré une réduction du retard de croissance chez les enfants de moins de 5 ans de 35% à 25% au cours de la dernière décennie. Pour elle, le président du Faso est un champion de la nutrition car il connait son importance pour la santé, et le développement humain. Aussi, son altesse royale la princesse Sarah Zeid de Jordanie est également présente à Ouagadougou pour féliciter le Burkina Faso pour ces résultats en matière de nutrition. Pour elle les objectifs de l’Assemblée Mondiale de la Santé et le développement durable peuvent être atteints si l’action collective gagne du terrain.

Elle a également eu une séance de travail avec l’épouse du président du Faso, madame Sika Kaboré. Elles ont aussi échangé sur les projets de l’épouse du chef de l’État dans le domaine des soins de santé préventifs et le rôle du PAM en matière de nutrition. L’engagement de madame Kaboré pour la santé à travers son association Kimi intéresse la princesse qui défend la cause de la santé de la mère et du nouveau-né ainsi que de la nutrition.

La princesse Sarah Zeid de Jordanie travaille avec le Programme alimentaire mondial (PAM), aux fins de sensibiliser l’opinion publique sur les besoins spécifiques, les vulnérabilités des femmes, des filles, des enfants et des nouveau-nés dans les contextes de crises humanitaires.

La princesse de Jordanie est titulaire d’une Licence en Relations internationales de l’Université de Saint Thomas de Houston, au Texas, et d’un Master en sciences du Développement de l’École des études orientales et africaines de l’Université de Londres.

DCPF

 

Laisser un commentaire